Le plan priorité prévention prévoit, dans son action 4, l'organisation annuelle en région de campagnes spécifiques de dépistage du VIH, des hépatites virales et des autres IST. Cette campagne, menée sous l'égide de la DGS, a été mise en œuvre et a été pilotée au niveau régional par l'ARS, en lien avec les 3 COREVIH de la région.
Les objectifs de cette campagne de dépistage sont les suivants :
Cette campagne est organisée dans notre région du 25 novembre au 8 décembre 2019.
Pour lire le communiqué de presse de l'ARS Auvergne-Rhône-Alpes, cliquez sur ce lien.
Santé Publique France (SFP) va parallèlement lancer une campagne de communication « VIH/IST : se faire dépister, c’est prendre soin de son avenir » pendant trois semaines de fin novembre à mi-décembre, campagne qui aura pour public ‘Tout public’, DFA, HSH et migrants.
Chaque COREVIH a désigné un pilote pour son territoire de référence. Nous vous invitons à vous rapprocher de la personne désignée pour échanger avec elle si vous souhaitez plus d'informations sur les actions programmées sur leur territoire :
COREVIH Auvergne-Loire (03, 15, 42, 43 et 63) : Dr Morgane Rude-Bache : 04 73 14 50 70 / 04 73 14 50 80
COREVIH Arc alpin (38, 73 et 74) : Mme Anne Monnet Hoel : 04 76 76 62 79
COREVIH Lyon-Vallée du Rhône (01, 07, 26 et 69 -Métropole de Lyon et Rhône) : Mr Sébastien Cambau : 06 61 43 62 97
Dans le cadre de sa politique de reconquête des déserts médicaux, La Région Auvergne-Rhône-Alpes a mis en place une Prime d'engagement à l'installation en zone prioritaire destinée aux futurs médecins généralistes.
Complémentaire au Contrat d'Engagement de Service Public (CESP), cette prime d'un montant de 10 000 euros a pour objectif de contribuer à faciliter et à garantir l'installation des étudiants en médecine générale dans les Zones d'Intervention Prioritaires (ZIP) ou les Zones d'Action Complémentaire (ZAC) d'Auvergne-Rhône-Alpes.
Voir les détails dans le Règlement d'attribution de la Prime d'engagement à l'installation pour les futurs médecins généralistes en zones prioritaires d'Auvergne-Rhône-Alpes.
Une nouvelle application pour smartphone iOS et Android permettant d'informer mais aussi de collecter des informations sur les piqûres de tiques afin de mieux comprendre et prévenir la maladie de Lyme, est disponible au téléchargement, ont annoncé la Direction générale de la santé (DGS), l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) et l'Institut national de recherche agronomique (Inra), dans un communiqué diffusé le 18 juillet 2017.
Baptisée ‘Signalement tique’, cette application invite la victime d’une morsure à signaler le lieu et le contexte de la rencontre.
Lire le communiqué de presse (en bas de la page : lien vers le téléchargement de l’application).
Si la souffrance psychologique touche de nombreux professionnels de santé, elle n’épargne pas les étudiants en santé. C’est ce qui ressort de l’enquête « Santé mentale » menée auprès des étudiants et jeunes médecins. C’est aussi ce que rapporte le Dr Valérie Auslender dans son livre Omerta à l’hôpital : le livre noir des maltraitances faites aux étudiants en santé.
Afin d’offrir écoute, aide et orientation aux jeunes rendus vulnérables, l’association Soins aux Professionnels de Santé (SPS) met à leur disposition sa plateforme d’appel nationale 0 805 23 23 36.
Lire le communiqué de presse.
Diffusion d’information sur les mesures à observer pour la prise en charge de patients présentant une morsure de serpent : cliquez ici.
Ces recommandations s’inscrivent dans un contexte de pénurie du sérum anti-venimeux VIPERFAV et doivent donc être prises en compte avec la plus grande attention.
Un reportage réalisé par France 3 Auvergne-Rhône-Alpes sur le Carnet de Vaccination Électronique a été diffusé vendredi 5 mai 2017 (à revoir en replay).
Filmé à son cabinet lors d’une consultation, le docteur Jean-Pierre Enrione-Thorrand, porteur du projet au sein de l’URPS, explique à une patiente, venue faire le point sur sa couverture vaccinale avant un voyage à l’étranger, les bénéfices directs offert par ce nouvel outil. Moins de deux minutes pour convaincre grand public et professionnels de santé de la pertinence et de l’efficacité d’un tel système d’aide à la décision médicale.
Pour faciliter et améliorer la prise en charge de vos patients souffrant d’infection urinaire et lutter contre l’antibiorésistance, la Direction générale de la Santé a réalisé une fiche pour informer les professionnels de santé de ces nouvelles préconisations.
Pour accéder à cette fiche, cliquez ici.
Devant une quarantaine de personnes réunies à la maternité privée lyonnaise Natecia, ont été évoqués les projets d’e-santé qui seront mis en place, durant l’année 2017, au sein de l’établissement. Parmi eux, deux services sont actuellement pilotés par l’URPS Médecins Libéraux AuRA : celui du Réseau Social des Professionnels de Santé (RSPS) et du Carnet de Vaccination Electronique (CVE). Ce dernier a fait l’objet d’une présentation synthétique. Un temps d’échanges a permis d’approfondir le contexte et les objectifs de cet outil, ainsi que sa mise en œuvre et les modalités d’inscriptions des mères et de leurs enfants. Un focus a également été fait sur l’importance du décloisonnement du parcours vaccinal et la mise en perspective de la collaboration entre l’hôpital et la médecine de ville.
L’utilisation massive et répétée de traitements antibiotiques inadaptés conduit à l’apparition de bactéries résistantes à ces médicaments. Dans le cadre de la lutte contre l’antibiorésistance, la Haute Autorité de Santé publie, en partenariat avec la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF), des fiches mémo à destination des médecins généralistes sur les infections les plus fréquentes : rhinopharyngite, angine, otite de l’enfant et de l’adulte, ainsi que les infections urinaires de la femme et de la femme enceinte.
Les indicateurs de mortalité dans notre région témoignent de la situation favorable d'Auvergne-Rhône-Alpes par rapport aux autres régions françaises. Ainsi, nous sommes la deuxième région en termes de longévité chez les hommes (79,6 ans) et chez les femmes (85,5 ans). On observe une sous-mortalité prématurée (avant 65 ans) et une sous-mortalité prématurée évitable (par les pratiques de prévention primaire), encore plus marquées, en Auvergne-Rhône-Alpes. Les parts des principales causes de décès sont assez proches de celles observées au niveau national avec toutefois une part plus importante des causes externes, blessures et empoisonnement pour la mortalité prématurée.
Toutefois, cette situation favorable est très inégalement répartie sur le territoire de la région. Les taux de mortalité des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes sont le plus souvent inférieurs aux taux moyens nationaux alors que ceux de l'ancienne région Auvergne sont supérieurs. L'espérance de vie est inférieure à la moyenne nationale dans les départements de l'ex-Auvergne ainsi qu'en Ardèche et en Savoie. La mortalité prématurée apparaît particulièrement élevée dans l'Allier.
Plusieurs textes de loi sont parus courant juillet 2016 :
En savoir plus :
Le Ministère en charge de la santé lance, dans le cadre de la "Semaine de la vaccination", un site internet pédagogique à destination du grand public qui regroupe toutes les informations de référence.
La CNAMTS a mis en ligne son bilan.
15 centres gratuits d'information, de dépistage et de diagnostic (CeGIDD) ont été habilités par l’ARS Auvergne-Rhône-Alpes au 1er janvier 2016.
Au JOurnal officiel du 27 janvier 2016 :
L’Ordre des médecins présente 10 propositions opérationnelles en réponse aux nombreux dysfonctionnements de notre système de santé, tant pour les patients que pour les médecins et les autres professionnels de santé. Ces propositions sont le résultat de la grande consultation engagée par l’Ordre des médecins avec tous les acteurs du système de santé et de multiples rencontres avec les professionnels sur le terrain.
- 1ere priorité : Simplifier l’organisation territoriale des soins avec une gouvernance partagée entre acteurs et usagers
. Proposition n°1 : Mettre en place un échelon territorial unique pour améliorer la coordination des soins
. Proposition n°2 : Instaurer la démocratie sanitaire à tous les niveaux territoriaux
. Proposition n°3 : Créer un portail d’information unique entre acteurs de santé et usagers au niveau de chaque bassin de proximité santé
- 2eme priorité : Alléger et décloisonner l’exercice professionnel des médecins
. Proposition n°4 : Redonner du temps médical aux médecins
. Proposition n°5 : Mettre en place un système social protecteur et un mode de rémunération valorisant pour tous
. Proposition n°6 : Promouvoir et faciliter les coopérations inter et intra-professionnelles
. Proposition n°7 : Simplifier les relations avec les organismes gestionnaires
- 3eme priorité : Ouvrir et professionnaliser la formation des médecins
. Proposition n°8 : Réformer le numerus clausus et la PACES pour une meilleure adaptation aux besoins des territoires
. Proposition n°9 : Régionaliser la formation initiale et renforcer la professionnalisation du deuxième cycle à l’internat
. Proposition n°10 : Renforcer la formation continue par la recertification
Ces 10 propositions ont pour objectif d’alimenter le débat public et les programmes politiques des prochaines échéances électorales dans la perspective d’aboutir à la construction d’une réforme de santé ample et partagée.
La qualité du travail en équipe et notamment de la communication entre anesthésistes-réanimateurs et chirurgiens, représente un enjeu majeur pour la sécurité du patient. Pour mieux travailler en équipe, la Haute Autorité de Santé propose un document synthétique en 15 points-clés pour l'amélioration des pratiques professionnelles.